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Après une série de faits divers parfois mortels impliquant des mineurs, Gabriel Attal a présenté le plan de bataille du gouvernement contre la violence des jeunes, lors d'une visite à Nice. Recours à l'internat, batterie de sanctions, responsabilisation des parents. Il puise dans les idées de droite, et probablement un peu trop, observe la presse étrangère. Réservé aux abonnés Publié le 24 avril 2024 à 16h43 Lecture 2 min. Lundi 22 avril à Nice, le Premier ministre, Gabriel Attal, est venu illustrer le volet prévention de son plan "contre la violence des mineurs" devant une vingtaine d'adolescents en situation de décrochage scolaire. Ces derniers allaient suivre un stage expérimental dit "de rupture" dans un internat, pendant les vacances de printemps. Le rendez-vous n'intervenait que quelques jours après un discours sur le sujet à Viry-Châtillon, le jeudi précédent. Un "Grenelle sur la violence des jeunes" a été lancé dans la foulée. Le chef de gouvernement avait annoncé "un sursaut d'autorité" et une série de mesures relatives à l'école, la famille et les réseaux sociaux, dont des sanctions pour les élèves perturbateurs dans l'obtention de leurs diplômes et même un possible débat sur des "atténuations à l'excuse de minorité". La France se débat avec la violence des jeunes, comme l'observent les correspondants étrangers. Après une série de faits divers mortels et les émeutes de l'été 2023, "la réponse à ce phénomène est devenue la priorité" pour Gabriel Attal, constate Le Temps, en Suisse. Pour le quotidien genevois, le Premier ministre, qui vient de passer le cap des 100 jours à la tête du go La suite est réservée aux abonnés... Courrier international Nos lecteurs ont lu aussi Nos servicesDes réponses à l'ancienne