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Kendji Girac : son "chantage au suicide" à Soraya rappelle des heures sombres à Isild Le Besco - Closer

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Depuis plusieurs jours, Isild Le Besco ne cesse de faire parler d'elle. La raison ? Elle a publié un livre mercredi 1er mai 2024 intitulé Dire Vrai, aux éditions Denoël. Elle y évoque les violences qu'elle a pu subir tout au long de sa vie et accuse notamment Benoît Jacquot d'emprise alors qu'elle l'a rencontré sur le tournage du film Sade. Elle avait 16 ans et lui 52. Elle écrit alors qu'il l'aurait obligée à avoir des rapports sexuels avec lui pendant des années.

Samedi 4 mai 2024, la comédienne aujourd'hui âgée de 42 ans était l'invitée de l'émission C l'hebdo. La journaliste Aurélie Casse lui rappelle qu'elle a également écrit ce livre pour les autres femmes afin qu'elles arrivent à repérer les pièges de l'emprise et qu'elles parviennent à s'en libérer. De son côté, Isild Le Besco aurait tenté de quitter Benoît Jacquot, mais ce dernier lui aurait fait du chantage au suicide.

Pour Isild Le Beso, le chantage au suicide existe dans de nombreuses relations toxiques

"Ça arrive beaucoup les hommes qui font un chantage au suicide", a-t-elle déclaré dans un premier temps. "C'est toujours un message double : beaucoup de valorisations en même temps que beaucoup d'écrasements. Ca illustre beaucoup beaucoup de relation toxique", a-t-elle ajouté avec beaucoup de calme.

Une telle déclaration n'est pas sans faire penser à l'affaire qui touche actuellement Kendji Girac. Le chanteur a admis à l'hôpital le 22 avril 2024 après avoir reçu une balle dans le torse. Au cours de son audition, il a reconnu qu'il s'était lui-même tiré dessus pour simuler un suicide afin de faire peur a sa compagne Soraya qui évoquait une séparation.

Kendji Girac ne voulait pas que Soraya parte

"Je voulais qu'elle me dise d'arrêter et qu'elle ne parte pas", a déclaré le chanteur, selon les mots du procureur de la République de Mont-de-Marsan, datés du 25 avril. L'enquête pourrait ainsi être classée sans suite puisqu'un "suicide simulé qui tourne mal ou un véritable suicide" ne sont pas des faits pénalement répréhensibles, avait encore précisé le magistrat.

Et pourtant, pour les victimes du chantage au suicide, les répercussions sont lourdes. Ce n'est pas Isild Le Besco qui dira le contraire, alors qu'elle en aurait été victime durant des années.

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