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Fin de vie : le militantisme de la MGEN dénoncé par des députés

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Promotrice du projet de loi sur « l'aide à mourir », la mutuelle entend en élargir les conditions d'accès

Publié le 25 avril 2024 à 17:39

Thierry Beaudet au CESE, le 9 décembre 2022.  -  Sipa Press

Les faits -

Emmanuel Macron se rend vendredi au Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour un échange avec les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie, qui en avril dernier, s'étaient prononcés à 76 % pour un changement de législation.

« La boucle est bouclée ! », soupirent les opposants au projet de loi sur « l'aide à mourir ». Dans leur ligne de mire, la venue ce vendredi d'Emmanuel Macron au Conseil économique, social et environnemental (Cese) pour y rencontrer les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie qui avaient été « hébergés » par l'institution pour leurs travaux l'an dernier. Cese, dont le président, Thierry Beaudet, est un fervent partisan d'une évolution législative (il le redit dans Le Monde ce vendredi) et, qui, de 2009 à 2017, présida la Mutuelle générale de l'Education nationale (MGEN) avant de prendre la tête de la Fédération nationale de la mutualité française. Or, au côté de l'Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD), dans le cadre d'un « Pacte progressiste », la MGEN mène une intense campagne en faveur d'une « fin de vie libre et choisie ».

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