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Promotrice du projet de loi sur « l'aide à mourir », la mutuelle entend en élargir les conditions d'accès
Publié le 25 avril 2024 à 17:39
Les faits -
Emmanuel Macron se rend vendredi au Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour un échange avec les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie, qui en avril dernier, s'étaient prononcés à 76 % pour un changement de législation. « La boucle est bouclée ! », soupirent les opposants au projet de loi sur « l'aide à mourir ». Dans leur ligne de mire, la venue ce vendredi d'Emmanuel Macron au Conseil économique, social et environnemental (Cese) pour y rencontrer les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie qui avaient été « hébergés » par l'institution pour leurs travaux l'an dernier. Cese, dont le président, Thierry Beaudet, est un fervent partisan d'une évolution législative (il le redit dans Le Monde ce vendredi) et, qui, de 2009 à 2017, présida la Mutuelle générale de l'Education nationale (MGEN) avant de prendre la tête de la Fédération nationale de la mutualité française. Or, au côté de l'Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD), dans le cadre d'un « Pacte progressiste », la MGEN mène une intense campagne en faveur d'une « fin de vie libre et choisie ». Claude Leblanc Le président chinois Xi Jinping est attendu en France pour une visite d'Etat du 6 au 7 mai. La guerre en Ukraine devrait occuper une partie des discussions avec Emmanuel Macron. Le décryptage de notre journaliste Claude Leblanc Vie de couples
Corinne Lhaïk Au sein du quatuor qui dirige l'Etat, le rapport de force a évolué depuis 2017 entre le Président, le Premier ministre, le secrétaire général de l'Elysée et le directeur de cabinet du Premier ministre `;
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